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Actualités du JBuS

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Juin 2022 – Apologie de la douceur, de Florentin Poulain

Création

S’inspirant du poème Femmes damnées de Baudelaire, Florentin Poulain expose son Apologie de la douceur, pièce rassemblant un chœur de 16 danseurs-interprètes du JBuS. Une aventure exaltante sur le plan humain, et à découvrir sur le plan chorégraphique !

« Apologie de la douceur questionne de manière contradictoire la violence enfouie ou révélée, individuelle ou collective…», déclare Florentin Poulain. À la fois intime et tournée vers l’extérieur, taraudée par une sourde inquiétude sur l’état du monde et mue par un irrépressible élan vital, la pièce révèle ainsi les énergies exacerbées au sein du collectif, en faisant surgir, l’espace d’un instant, la douceur… pour un besoin d’éternité.

Juin 2022 – Number 9, de L. Ancel, L. Boni, A. Chabrier et N. Compagnon

Court métrage

Projet esthétique, hybridant les facultés expressives de l’image en mouvement et du corps dansant, Number 9 dépeint une matérialisation sous une forme tangible de l’émotion et du ressenti, et dans un but de faire apparaître l’invisible.

Juin 2022 Aïon, JBuS & Les Pygmalions

Création collaborative

Partenaires associés, le JBUS et les Pygmalions investissent cette saison la PoKoP pour y proposer AÏon, création collective portée par Nathalie Boudet, 12 danseurs du JBUS ainsi que l’équipe artistique des Pygmalions : une chronique chorégraphique à géométrie variable, à ne pas rater !

Selon la dramaturge Dina Khazai, « le passage irréversible et constant du temps rappelle le rapprochement de la fin et suscite l’effroi ; mais là où se niche l’effroi surgit également le merveilleux ». Aiôn sonde ainsi l’expérience subjective de la durée limitée, raccourcie ou dilatée, et constamment manipulée de la vie humaine. Par un usage de temporalités et graphies superposées, cette création bicéphale (JBUS/Les Pygmalions) ouvre à un autre monde, un univers hybride en mutation continue, où flotte une question : découvrir ce merveilleux enfoui dans l’effroi n’est-il pas précisément ce rêve d’avenir que ni l’exil, ni l’isolement, ni la misère, ni la maladie, ni le handicap…ni même le temps ne peuvent aliéner ?

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